NOUS SOMMES MONTEBELLO
Notre rhum est à la hauteur des hommes et des femmes qui, chaque jour, s’efforcent de le faire vivre avec passion.
Derrière chacun de nos produits Montebello, se cachent des hommes et des femmes. Ce sont des collaborateurs passionnés qui utilisent leur savoir-faire et le transmettent depuis plusieurs générations. Ils unissent leurs talents pour produire et promouvoir nos rhums agricoles.
Au sein de la distillerie règne un esprit familial. Telle une grande famille, ils œuvrent tous, à leur manière, au développement de la maison Montebello.
Une partie des collaborateurs de la distillerie Montebello y travaille depuis des décennies. Certains d’entre eux ont même eu la chance de travailler avec Alain Marsolle.


Notre terroir guadeloupéen
La Guadeloupe possède un terroir unique. C’est une île au climat tropical : humide en Basse-Terre et chaud en Grande-Terre. Elle est surplombée par un volcan, la Soufrière, qui crée des microclimats.
La canne à sucre pousse bien sur l’île, bichonnée entre pluie et soleil.
Nous travaillons avec des planteurs qui coupent leur canne à sucre majoritairement à la main. Nous respectons leur dur labeur dans les champs et nous collaborons avec eux sur le long terme.
Notre distillerie est la seule en Guadeloupe à utiliser une machine à vapeur pour broyer la canne à sucre.
La distillerie Montebello s’étend sur 2 hectares. Nous y broyons en moyenne 8 000 tonnes de cannes par an, le tout étant destiné à la production d’un rhum agricole de grande qualité, primé à plusieurs reprises.
Le saviez vous ? Pour produire 1 litre de rhum agricole, il faut environ 10 kilogrammes de canne à sucre.

Une tradition familiale
Les héritiers MARSOLLE, de père en fils
La famille MARSOLLE, cinq générations de distillateurs en Guadeloupe.
En 1892, Charles Jacques-Edouard MARSOLLE est le premier de la famille à se lancer dans une activité sucrière, puis dans la fabrication de rhum à l’habitation La Lise à Bouillante.
Ses fils Edouard et André l’aident et lui succèdent au sein de cette même habitation.
Son petit-fils Jean suit les traces familiales en exploitant d’abord la distillerie de La Rose à Goyave, puis en reprenant la distillerie de Carrère à Petit-Bourg située en bord de route dans les premiers reliefs de la commune.